
Quelle est la place que nous devons donner à Sadhana dans notre vie ? Bhagavan nous guide avec amour et clarté aujourd’hui.
La lecture ne suffit pas ; vous maîtrisez peut-être tous les commentaires et vous pourrez peut-être argumenter et discuter avec de grands érudits sur ces textes, mais sans tenter de mettre en pratique ce qu’ils enseignent, c’est une perte de temps. Je n’approuve jamais l’apprentissage par le livre ; c’est la pratique que J’évalue. Quand vous sortez de la salle d’examen, vous savez si vous réussirez ou non, n’est-ce pas ? Car vous pouvez vous-même juger si vous avez bien répondu ou non. Ainsi, dans la sadhana, dans la conduite ou dans la pratique, chacun d’entre vous peut juger et déterminer le succès ou l’échec qui l’attend. Tout comme vous prenez soin du corps avec de la nourriture et des boissons que vous assimilez régulièrement, vous devez également répondre aux besoins du corps atmique intérieur, par le japam régulier, du dhyanam (récitations, méditation) et la culture des vertus. Le Sat-sanga, le sat-pravartana, le sat-chintana (sainte compagnie, bonne attitude et pensées sacrées) sont essentiels à la croissance et à la santé de la personnalité intérieure. Le corps est bhavanam (manoir) de Bhuvaneshvara (Seigneur du monde), Son bhuvanam (monde) ! Dans la mesure où vous êtes particulièrement attentif au café ou au thé à intervalles réguliers, soyez également attentif au dhyanam et au japam à heures fixes, pour la santé et la vivacité de l’esprit !
Tiré du « Discours Divin du 2 février 1958 »
L’autel du cœur sera propre si la sadhana est régulière.
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