French, 11.dec.24

Pourquoi ne devrions-nous pas ignorer les expériences que nous qualifions de désagréables et indésirables ? Comment nous aident-elles dans notre vie ? Bhagavan nous inspire avec amour aujourd’hui.

Pour se débarrasser de l’obscurité de la tristesse, il faut allumer la lampe du bonheur. Pour dissiper l’obscurité de la maladie, il faut installer la lumière de la santé. Pour surmonter l’obscurité des pertes et des échecs, il faut faire entrer la lumière de la prospérité. Ces conditions apparemment opposées ne sont pas totalement distinctes l’une de l’autre. Elles sont interdépendantes. Vous voyez dans le monde la prévalence de la chaleur et du froid. Ils semblent s’opposés l’un à l’autre. Pourtant, selon la situation actuelle, tous deux sont utiles à l’homme. Pendant la saison froide, vous accueillez la chaleur. En été, vous désirez la fraîcheur. Il est donc clair que la chaleur et le froid sont tous deux des aides pour l’homme et ne lui sont pas nuisibles. De même, la joie et la tristesse, la perte et le gain sont utiles à l’homme et ne lui sont pas hostiles. S’il n’y a pas de tristesse, on ne peut pas connaître la valeur du bonheur. S’il n’y a pas d’obscurité, on ne peut pas apprécier la valeur de la lumière. Par conséquent, si l’on veut réaliser la grandeur de la lumière, l’obscurité est nécessaire.

Tiré du Discours Divin du 5 novembre 1991.

La vérité sur la tristesse et la joie sera réalisée lorsqu’elles seront considérées comme égales du point de vue spirituel.