
Comment pouvons-nous vivre dans un monde sans chagrin, sans douleur et sans souffrance ? Bhagavan nous le rappelle aujourd’hui avec amour à travers un exemple très puissant !
Le Seigneur ne se manifestera que lorsque le pilier sera fendu par l’épée du désir. Hiranyakashipu l’a fait et immédiatement, le Seigneur est apparu de l’intérieur de ce pilier. Il ne s’y était pas caché, anticipant l’éventualité. Il est partout ; et donc, Il était là aussi. La leçon qu’Hiranyakashipu a apprise était que le deha-tatwa (le principe du corps) doit être divisé si le dehi-tatwa (le principe de l’habitant intérieur) doit se révéler. C’est-à-dire que la conscience « Je suis le corps » doit disparaître si la conscience « Je suis incarné » doit émerger. Tant que vous êtes dans la conscience de dehi (je suis incarné), aucune douleur ni chagrin, ni orgueil ni égoïsme ne peuvent vous ternir. C’est comme l’eau de mer. Prenez une petite quantité d’eau de mer et conservez-la à part dans une bouteille ; elle deviendra sale en quelques jours. Mais tant qu’elle est dans la mer, rien ne peut la souiller. Soyez dans la mer, en tant que partie d’elle. Ne vous séparez pas, ne vous individualisez pas, ne sentez pas que vous êtes le deha (corps), à part du dehi (« je »).
Tiré du Discours Divin du 29 janvier 1965.
En voyant votre corps, vous vous identifiez à la forme. Mais vous n’êtes pas le corps ; vous vivez dans le corps.
Você precisa fazer login para comentar.