
Si nous aspirons à la paix, comment devons-nous travailler sur nous-mêmes ? Alors que nous célébrons la fête sacrée de Navaratri, Bhagavan nous guide aujourd’hui avec fermeté et amour.
Prenez la résolution de purifier votre mental des impuretés afin de pouvoir vous imprégner de l’inspiration ! Les aspirants à la paix mentale doivent réduire le nombre de bagages dont ils doivent s’occuper ; plus le nombre de bagages est important, plus les ennuis sont grands. Les possessions objectives et les désirs subjectifs sont tous deux des handicaps dans la course à la réalisation. Une maison encombrée de bois sera sombre et poussiéreuse, et sans libre circulation d’air frais, elle sera étouffante et suffocante. Le corps humain est aussi une maison ; ne permettez pas qu’il soit encombré de curiosités, de bibelots, de détritus et de meubles superflus. Laissez la brise de la sainteté souffler à sa guise à travers lui ; ne laissez pas les ténèbres de l’ignorance aveugle le profaner. La vie est un pont sur la mer du changement ; passez dessus, mais ne construisez pas de maison dessus. Hissez le drapeau de Prasanthi, sur le temple, qui est votre cœur. Suivez la prescription qu’il enseigne : soumettez les six ennemis qui minent la félicité naturelle de l’homme, montez au stade du Yoga lorsque les agitations sont apaisées et permettez à la splendeur de la Divinité intérieure de briller, embrassant tout, à tout moment !
Tiré du Discours Divin du 12 octobre 1969.
Cherchez la perle, pas la coquille ; la pierre précieuse, pas le clinquant.
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